Je désire que le premier dimanche après Pâques soit la fête de la Miséricorde (P. J. 299). Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge de toutes les âmes, et particulièrement de celles des pauvres pécheurs. Ce jour-là, les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes et je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’ approcheront de la source de ma miséricorde : toute âme qui se confessera et qui communiera obtiendra le pardon complet de ses fautes et la rémission de sa peine. Ce jour-là, toutes les sources divines par lesquelles se déversent les grâces sont ouvertes (P. J. 699)