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Le carême avec les missionnaires de la Miséricorde Divine

Découvrez la vidéo du jour pour le carême 2024 avec les Missionnaires de la Miséricorde et retrouvez le programme de toutes les vidéos. 

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Mercredi 14 février (des cendres) : La dévotion au Sacré-Cœur, synthèse de notre foi, Abbé Jean-Raphaël Dubrule
Jeudi 15 février : 
Une dévotion utile pour notre temps, Abbé Fabrice Loiseau
Vendredi 16 février : 
Le Sacré-Cœur révélé dans l’Ancien Testament, Abbé Eloi Gillet
Samedi 17 février : 
Le Sacré-Cœur révélé dans le Nouveau Testament, Abbé Matthieu Bévillard
Dimanche 18 février (1er dimanche de Carême) : 
Les Pères de l’Église nous parlent du Sacré-Cœur, Abbé Hugues de Franclieu
Lundi 19 février : 
Saint Jean Eudes et Marie Vallée, Abbé Vincent Marie-Jeanne
Mardi 20 février : 
Sainte Marguerite-Marie, Abbé Montfort Gillet
Mercredi 21 février : 
Saint Claude La Colombière, Abbé Florent Molin
Jeudi 22 février : 
1e apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie, Abbé Mathieu Grenier
Vendredi 23 février : 
2e apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie, Abbé Martial Pinoteau
Samedi 24 février : 
3e apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie, Abbé Henri Gilliot
Dimanche 25 février (2e dimanche de carême) : 
La grande apparition de l’octave du Saint Sacrement, Abbé François de Carbonnières
Lundi 26 février : 
La révélation du Sacré-Cœur dans le contexte janséniste et l’affaire des poisons, Abbé Guillaume Le Gall
Mardi 27 février : 
Le règne temporel du Sacré-Cœur, Abbé Thibaud Perruchot
Mercredi 28 février : 
Mère Marie du Divin Cœur et la consécration du monde au Sacré-Cœur Abbé Paul Trifault
Jeudi 29 février : 
Le Sacré-Cœur et la Miséricorde, Abbé Clément Anouil
Vendredi 1er mars : 
Sainte Faustine et sainte Marguerite-Marie, deux saintes liées, Abbé Benoît Bottineau
Samedi 2 mars : 
Le Sacré-Cœur et le Dieu trois fois Saint, Frère Étienne
Dimanche 3 mars (3ème dimanche de Carême) : 
Le Sacré-Cœur et l’Incarnation, Frère Guillaume
Lundi 4 mars : 
Un Cœur qui a aimé jusqu’à en souffrir, Frère Médéric
Mardi 5 mars : 
L’amour personnel du Sacré-Cœur pour chaque homme, Abbé Pierre-Albéric Oudinot
Mercredi 6 mars : 
La spiritualité de la confiance, Frère Sébastien
Jeudi 7 mars (mi-carême) : 
Le sacrement du baptême jailli du Cœur du Christ, Abbé Alban Renouard
Vendredi 8 mars : 
Le Cœur du Christ, source du sacrement de pénitence, Abbé Henri Gilliot
Samedi 9 mars : 
Le sacrement de l’Eucharistie et Sacré-Cœur, Abbé Thibaud Perruchot
Dimanche 10 mars (Dimanche de Laetare) : 
Aimer à la manière du Cœur du Christ : la douceur, Wandrille D.
Lundi 11 mars : 
Aimer à la manière du Cœur du Christ : l’humilité, Kaïs Martin H.
Mardi 12 mars : 
Aimer à la manière du Cœur du Christ : le détachement, Baptiste M.
Mercredi 13 mars : 
Le Cœur du Bon Pasteur, Grégoire L-B.
Jeudi 14 mars : 
Le Cœur du Bon Maître, Nicolas L.
Vendredi 15 mars : 
Le Cœur de l’ami, Benoît L.
Samedi 16 mars : 
Le Cœur du Sauveur, Thibault de F.
Dimanche 17 mars (Dimanche de la Passion) : 
La réparation intimement liée au Cœur de Jésus, Abbé Benoît Bottineau
Lundi 18 mars : 
La réparation est une conversion, Maximilien O.
Mardi 19 mars : 
La consécration au Cœur du Christ, Nathanaël de L.
Mercredi 20 mars : 
En route vers la consécration, Martin D.
Jeudi 21 mars : 
Les deux Cœurs unis et la Rédemption, Frère Étienne
Vendredi 22 mars : 
Le Cœur épris de sa Mère, Frère Médéric
Samedi 23 mars : 
Le Cœur épris de sa Mère au calvaire, Abbé Florent Molin
Dimanche 24 mars (Dimanche des Rameaux) : 
Le Règne du Cœur, Abbé Martial Pinoteau
Lundi Saint 25 mars : 
Le Règne du Cœur et la passion de l’Église, Abbé Éloi Gillet
Mardi Saint 26 mars : 
Le Sacré-Cœur et les saints modernes, Abbé Guillaume Le Gall
Mercredi Saint 27 mars : 
Vie consacrée et Sacré-Cœur, Abbé Montfort Gillet
Jeudi Saint 28 mars : 
Sacerdoce et Sacré-Cœur, Abbé Jean-Raphaël Dubrule
Vendredi Saint 29 mars : 
Le Cœur sacrifié, Abbé Fabrice Loiseau
Samedi Saint 30 mars : 
Des fleuves d’eau vive vont jaillir de son Cœur, Abbé Hugues de Franclieu
Dimanche 31 mars (Pâques) : 
La Résurrection, le Cœur Ressuscité, Abbé Matthieu Bévillard

12 janvier 2025
Toutes les annonces et les horaires de la semaine
10 janvier 2025
Filles, femmes d’Alsace, Vous êtes conviées au premier pèlerinage Himmelsweg ! Ce pèlerinage organisé par la paroisse de la Croix glorieuse vous propose de : - marcher entre femmes dans notre beau paysage de vignes cette année entre Scherwiller et Colmar. - Prier ensemble pour l’Eglise, notre diocèse, nos paroisses et nos intentions personnelles - Chanter pour encore mieux prier, - Vivre un temps de fraternité avec d’autres femmes vivant en Alsace. Himmelsweg accueille des pèlerines entre 15 et 99 ans pour donner la possibilité de venir avec sa fille, sa sœur, sa mère, sa grand mère et ses amies. Une jeune fille plus jeune (13-14ans) pourrait s’inscrire également si elle est accompagnée de sa mère ou autre adulte présente pendant tout le pèlerinage. N’hésitez pas à proposer ce pèlerinage à des amies ou collègues qui ne connaissent pas encore Jésus. Le pèlerinage se veut être missionnaire ! Celles qui ne seraient pas en mesure de marcher les 42 kilomètres prévus sont les bienvenues pour aider à l’organisation et former un chapitre d’anges gardiens. Je suis impatiente de marcher sur le chemin du ciel en votre compagnie. Le Bon Dieu nous attend aussi ! Himmelsweg nous voilà ! Sarah du Bourg
10 janvier 2025
Lundi 27 janvier prochain, à 17h15, a lieu à la Cathédrale de Strasbourg, une cérémonie Œcuménique où Mgr Pascal Delannoy accueille Sa Sainteté Le Patriarche Œcuménique Bartholoméos de Constantinople. Message du Service diocésain de l’Œcuménisme
2 janvier 2025
Les Papes et la prière du Rosaire Il faut remonter au XVe siècle et au pape Sixte IV pour que la prière du Rosaire soit officiellement approuvée par l’Église catholique. Au cours des deux siècles précédents, la pratique, née probablement chez les cisterciens, aidait à la prière des personnes analphabètes, en récitant successivement des prières et des psaumes, jusqu’à ce que cela devienne une suite de 150 “Je vous salue Marie”. Saluer Marie autant de fois revenait à lui offrir une couronne de roses, le «Rosaire», ou un petit chapeau, le «Chapelet». Deux siècles pour structurer le Rosaire Au XVe siècle, le Rosaire, soutenu par les Dominicains, prend la forme d’une méditation sur la vie du Christ, entrecoupée du Notre Père et du Je vous salue Marie. Au XVIe siècle, un théologien dominicain Antonio Ghislieri, devenu le pape Pie V, structure le Rosaire autour de 15 mystères et, le 7 octobre 1571, institue la fête de Notre Dame du Rosaire. Jean Paul II, en 2002, complète le Rosaire avec 5 nouveaux mystères. Les mystères lumineux s’ajoutent aux mystères joyeux, douloureux et glorieux. Entre 1571 et 2002, les papes n’ont cessé d’encourager la récitation du Rosaire. Léon XIII, en septembre 1893 dans l’Encyclique Laetitiae Sanctae, affirme être «pleinement convaincu que la pratique du Rosaire, soignée de manière à faire naître la force morale qu'elle contient, produira des fruits abondants, non seulement pour les individus, mais pour la société dans son ensemble», dont il dénonçait les maux à l’aube de la deuxième révolution industrielle qui creusait le déséquilibre entre les classes sociales. La prière des moments difficiles En 1937, dans son Encyclique Ingravescentibus Malis, Pie XI, voyant arriver la vague du national-socialisme et du stalinisme, observe que «dans sa superbe» le XXe siècle «refuse le Rosaire» pourtant «cher à une multitude de saints hommes de tout âge et condition». Il s’adresse aux fidèles pour leur demander de réciter le Rosaire à la maison afin que «les ennemis du nom divin (…) puissent enfin être pliés, incités à la pénitence et au retour sur le droit chemin, en s'appuyant sur la protection et la tutelle de Marie». Deux ans avant le début de la Seconde guerre mondiale, Pie XI ajoutait : «Le chapelet marial sert non seulement à vaincre les ennemis de Dieu et de la Religion, mais il est aussi un stimulant et un aiguillon pour la pratique des vertus évangéliques qu'il insinue et cultive dans nos âmes». Jean XXIII récite le rosaire pour les nouveaux-nés Le 4 mai 1963, tandis que l’Église est engagée dans le Concile Vatican II, Jean XXIII accueille le premier pèlerinage italien du Rosaire Vivant au sein duquel «le bon Pape» rencontre de nombreux enfants malades. «Vous nous êtes chers, comme la pupille de nos yeux» leur lance le Souverain Pontife. «Vous nous êtes chers surtout parce que, avec la vivacité naturelle de vos années, vous êtes des enfants qui prient», leur dit-il, saluant leur «engagement de réciter au moins une dizaine de chapelet chaque jour», ajoutant qu’une journée sans prière est comme «un ciel sans soleil, un jardin sans fleurs». C’est Jean XXIII aussi qui confie en 1961 dans un petit essai en complément de la lettre apostolique Le Congrès religieux qu’il prie «dix Je vous salue Marie» chaque jour pour les nouveaux-nés au cours des dernières 24 heures qui précèdent la prière du Rosaire, afin de «recommander à Jésus tous les enfants naissent (…) de toutes les lignées humaines, qui, (…) la nuit, le jour, se révèlent sur toute la surface de la terre». Dans l’Encyclique Grata Recordatio de 1959, le même Jean XXIII encourageait la prière quotidienne, affirmant que le Rosaire est un excellent moyen de prière méditée, «que nous ne négligeons jamais de réciter en entier chaque jour de l'année». Il invitait les fidèles à prier le Rosaire pour le Concile œcuménique en préparation et pour «toutes les vertus chrétiennes» que l’on attend de l’Église. Au lendemain du Concile, Paul VI consacre une Exhortation apostolique au culte marial dans laquelle il suggère «quelques réflexions pour une reprise vigoureuse et plus consciente de la récitation du Rosaire». Dans Marialis Cultus, il souligne ainsi «outre la valeur de l’élément de louange et d’imploration, l’importance d’un autre élément essentiel du Rosaire : la contemplation. Sans elle, le Rosaire est un corps sans âme, et sa récitation court le danger de devenir une répétition mécanique de formules». Paul VI poursuit en recommandant, «vivement la récitation du Rosaire en famille». La prière préférée de Jean Paul II Saint Jean Paul II, dont tout le monde connait la profonde dévotion à la Vierge Marie – “Totus Tuus” était sa devise apostolique – a maintes fois encouragé la récitation du Rosaire au cours de ses 27 années de pontificat. En 2002 il publie une lettre apostolique précisément consacrée au Rosaire, Rosarium Virginis Mariae ; une prière qui «dans la sobriété de ses éléments» concentre «la profondeur de tout le message évangélique», et par laquelle «le croyant puise d'abondantes grâces, les recevant presque des mains mêmes de la Mère du Rédempteur». Jean Paul II explique qu’il a toujours, dans sa jeunesse, accordé une place importante à cette prière, sa préférée, avouait-il en 1978, deux semaines après son élection. C’est dans cette lettre qu’il proclame l’année du Rosaire d’octobre 2002 à octobre 2003, pour inviter les fidèles à «contempler avec Marie le visage du Christ». A l’aube du troisième millénaire, le pontife polonais souligne «l'urgence de faire face à une certaine crise de cette prière qui, dans le contexte historique et théologique actuel, risque d'être à tort amoindrie dans sa valeur et ainsi rarement proposée aux nouvelles générations». Préoccupé alors par la situation critique de la famille «toujours plus attaquée par des forces destructrices, au niveau idéologique et pratique», il propose le Rosaire comme une aide efficace pour en «endiguer les effets dévastateurs». Le nouveau printemps du Rosaire Benoit XVI aussi a souhaité vivifier la récitation du Rosaire: «le Rosaire n'est pas une pratique reléguée au passé, comme une prière d'un autre temps à laquelle on pense avec nostalgie», affirme-t-il précisément au terme de la prière dans la Basilique romaine Sainte Marie Majeure, le 3 mai 2008. «Le Rosaire connaît en revanche un nouveau printemps» dit-il. «C'est sans aucun doute un des signes les plus éloquents de l'amour que les jeunes générations nourrissent pour Jésus et pour sa mère Marie. Dans le monde actuel qui est si fragmenté, cette prière nous aide à placer le Christ au centre». Trois ans plus tôt, dans un message aux jeunes catholiques des Pays Bas, il écrivait que «le Rosaire peut aider à apprendre l’art de la prière avec la simplicité et la profondeur de Marie». En mai 2006, Benoit XVI invitait les fidèles à intensifier la pratique du Rosaire. Il le disait aux jeunes époux : «Réciter le Rosaire en famille est un moment de croissance spirituelle sous le regard bienveillant de la Vierge Marie» ; il le disait aux malades, les exhortant à s’adresser «avec confiance à Marie à travers cet exercice pieux, pour lui confier toutes vos nécessités». Source
2 janvier 2025
Cette année, nous redisons avec toute la solennité que mérite l’anniversaire de la loi Veil, notre opposition la plus farouche à l’égard des lois mortifères de notre pays.
par le curé 2 janvier 2025
Les mages sont venus de l'Orient à Bethléem pour adorer le Seigneur ; ouvrant leurs trésors, ils offrirent des biens précieux : de l'or pour le grand Roi, de l'encens pour le vrai Dieu, de la myrrhe pour sa sépulture, Alléluia !
par le curé 27 décembre 2024
Soutenez la paroisse la Croix glorieuse et faites votre don à l'Association pour le Culte Catholique Traditionnel en Alsace avant le 31 décembre.
13 décembre 2024
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